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Dignatio cognitio stultitiae tenebris lumen

Farinelli – Gerard Corbiau

Un film à problèmes

Haendel , comme Jean Sébastien Bach sont des sources de problèmes pour les cinéastes , comme , par extension la musique baroque . Farinelli est , gênant . Corbiau , dont c ‘ était le premier long métrage est en soit excusable , il est académique , il en est la substance même .
Haendel , cet inconnu
Farenelli court après Georges Friendrich Haendel et celui ci à poursuivi Haendel . Ce compositeur , n ‘ est connu du «  grand public «  que via water | firework music et the messia et c ‘est tout . Le Cantor de Leipzig est beaucoup moins obscur , grâce à Alexandre Astier .

Haendel aurait tous à fais pu faire la carrière de Bach , mais il à préféré l ‘ Angleterre à l ‘ Allemagne , le théâtre à dieu , la gloire instantané et fugace à l ‘ éternité …. Haendel était de son vivant bien plus connus que Jean Sebastien Bach , mais ce dernier est allez ci loin dans l ‘ écriture contrapuntique , au-delà de l ‘ art de la fugue , il faut pensé à la passion selon St Mathieu , dont le chœur conclusif servit d ‘ ouverture au film casino .

Certes ce n ‘est pas du tout le même public entre Londres et Leipzig . L ‘ un est futile , « noble «  , pour la mentalité de ces «  gens «  , je renvois à Barry Lindon et celui de Leipzig était luthérien avec des pointes de calvinismes , les notables ont très mal réagit à la St Mathieu , trop théâtral selon les propos de l ‘ époque . Depuis la municipalité à vu naître Richard Wagner et les fonds Bach sont en ville ( Eisenach aurait étez logique , mais provincial ) .
La mise en scène musical… quelle mise en scène ?
Farinelli est post Amadeus , qui lui avait vraiment tout pour lui : acteurs ; décors naturels ; budget … tous ce qui manque au premier film de Corbiau . Les numéros musicaux sont d ‘ une grande pauvreté , alors que le long métrage est à dominante musical .

Le film est quand même censé parlé d ‘ un castra … qui passe son temps à pleuré , en son sens c ‘est un vrai film français . Il y à en tout quatre décors , pour un film ce déroulant au dix huitième siècle . Sans doute une question budgétaire , mais un film en costume est toujours cher , sinon autant faire une « comédie » avec Christian Clavier .

Même chose , sur scène , nous ne voyons que des soli de Farinelli .. un opéra , c ‘est autre chose , une histoire , ce qu ‘ avais fait l ‘ équipe d ‘ Amadeus , même pour trois minutes à l ‘ écran , mais Farinelli n est qu ‘ une démo d ‘ algorithme et de NeXT station .

Des films , ou plutôt des mini séries restent à faire concernant les castra , Bach , Haendel , le XVI ème , XVII ème siècle musicaux .

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